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Col du Galibier

« Monter le Galibier sans se monter le bourrichon voilà la recette ».

Gustave Garrigou, 8 tours de France de 1907 à 1914, vainqueur en 1911.

 

 

 

Un peu d’histoire…

Construit par l’Armée des Alpes* la route du Galibier faisait partie du projet pharaonique consistant à relier les grandes vallées par les hauts cols.

*L’Armée des Alpes était une des armées de la Révolution Française faisant face à l’Italie. Cette dénomination fut en vigueur jusqu’à la seconde Guerre Mondiale

Ambiance

Le Galibier est le monstre sacré du cyclisme depuis 1911 quand les « forçats de la route » le franchirent lors du tout premier Tour de France. Sachez, qu’à l’époque, le dérailleur était interdit.  On grimpait avec un braquet de 21×11 soit environ 4 mètres de développement à chaque tour de pédale !

Seuls trois coureurs avaient vaincu le monstre (Geoget, Duboc et Garrigou) sans mettre le pied à terre.

Régulièrement au menu des cyclistes bravant le Tour de France, le Galibier apparaît comme une étape extrêmement difficile, révélatrice de talent et de courage. Il marque souvent la fin des débats révélant le podium à Paris. Ce géant est certainement le plus couru de notre territoire. À lui tout seul il a permis au Tour de France de forger sa légende.

Aucun col en France, même le Tourmalet ne peut se vanter d’avoir une telle notoriété et une telle fréquentation. Au Galibier, il est impossible de mentir.

« Dans ce col on touche au sublime, avec de la neige au sommet […] on n’a pas besoin d’attaquer, ce sont les adversaires qui craquent » confiait le coureur Lucien Van Impe, grimpeur léger, intouchable qui enchaîna 15 Tours de France entre 1969 et 1985 (second en 1981 à 35 ans).

Le Tour de France gravira cette année 2017 le col du Galibier pour la 60ème fois !

A voir

 

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